Elvug Burkoskian explore dans Post Mortem les zones troubles de la mémoire, du pouvoir et du silence. Passionné par les liens entre histoire enfouie et conscience individuelle, il mêle thriller psychologique, mystère politique et fictions à l’ombre du réel. Après plusieurs récits mêlant enquête intime et dérives collectives, Post Mortem marque un tournant plus sombre et introspectif dans son œuvre. Il a vécu au Maroc, depuis qu'il est en France, il écrit la nuit, parfois le jour et considère que certaines vérités ne se découvrent qu’en creusant les morts.