L'enfant du jeudi noir

Après avoir fui l’enfer des mines de cuivre au nord du Chili, Jaime – communiste athée pour qui l’unique idéal de l’homme réside dans un estomac bien rempli – et Sara Felicidad – qui du haut de ses deux mètres zéro sept ne s’exprime, comme les anges, qu’à travers la musique – donnent naissance à Alejandro – un enfant pas comme les autres –, un certain Jeudi noir de 1929.

Comme dans L’Arbre du dieu pendu, Jodorowsky nous livre ses secrets de famille, exploits extraordinaires où se mêlent héroïsme, dérision et sorcellerie poétique.

Ce roman est un carnaval loufoque dans un monde enchanteur et drolatique où perce un culte de la vie qui nous fait rêver.

« Captivant et souvent drôle, voire burlesque, Jodorowsky se lit comme un roman d’aventures. Misères de l’âme, bonheurs d’aimer, on nage en pleine sorcellerie poétique. » - La Voix du Nord

« L’invraisemblable sous sa plume devient crédible. Une bouffée d’images, de sons, de couleurs, de mouvements nous assaillent dans des pages fébriles qui sont à mettre à côté de celles de García Márquez. » - Le Monde