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Résumé

Le placement en famille d’accueil constitue une composante incontournable des services de protection de l’enfance. Au Québec comme ailleurs, le recours au placement comme solution de dernier recours soulève des enjeux importants sur les plans juridique, psychologique, familial et social.

Qui sont les différents acteurs impliqués ? Quels défis les enfants et les adultes touchés par le placement rencontrent-ils ? De quelle façon le placement en milieu familial a-t-il évolué ?

Cet ouvrage examine en détail les relations familiales, les expériences et les défis rencontrés par les parents d’origine, les enfants, les parents d’accueil et les intervenants sociaux. Il se distingue par son approche multidisciplinaire qui permet d’offrir un portrait complet du placement en milieu familial.

Les réflexions et les solutions proposées aux défis et aux enjeux soulevés intéresseront autant les spécialistes du droit, du travail social, de la psychologie que ceux de la psychoéducation.

 

Doris Chateauneuf, Ph. D., est chercheuse au Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF) du CIUSSS de la Capitale-Nationale.

Geneviève Pagé, Ph. D., est professeure titulaire au Département de travail social de l’Université du Québec en Outaouais (UQO).

Karine Poitras, Ph. D., est professeure titulaire au Département de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR).

Marie-Andrée Poirier, Ph. D., est professeure titulaire de l’École de travail social de l’Université de Montréal.

 

En collaboration avec Aida Benaguida, Camille Buisson, Delphine Collin-Vézina, Amilie Dorval, Lisa Ellington, Tonino Esposito, Emmanuelle Garcia, Audrey Gauthier-Légaré, Christiane Guay, Martine Guénette, Sonia Hélie, Marie-Pierre Joly, Marie-Noëlle Lagacé, Eve Laoun, Marie-Ève Lapointe, Joannie Laporte, Carmen Lavallée, Vanessa Lecompte, Josée Lemieux, Angélik Lepage-Cabeceiras, Julie Noël, Katherine Pascuzzo, Emilie Pelletier, Patricia Ringuette, Alexandra Rivest-Beauregard, Geneviève Sanfaçon-Gagnon, Annabelle Tremblay, Sophie T. Hébert, Deborah Ummel et Rosita Vargas Diaz.

 

Auteur

  • Geneviève Pagé (auteur, Contributions de)

    Geneviève Pagé est professeure titulaire au département de travail social de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Elle est directrice scientifique de l’Équipe de recherche sur le placement et l’adoption en protection de la jeunesse (ERPAPJ) et chercheuse régulière à l’Institut universitaire Jeunes en difficulté (IUJD) du CIUSSS Centre-sud-de-l’Ile-de-Montréal (CCSMTL). Ses recherches portent sur l’adoption en protection de la jeunesse pour mieux comprendre les pratiques d’intervention ainsi que l’expérience individuelle et les relations entre les membres de la triade adoptive (parents adoptifs, parents d’origine, personne adoptée).

     

  • Doris Chateauneuf (auteur, Contributions de)

    Doris Chateauneuf est chercheure au Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF) du CIUSSS de la Capitale Nationale et professeure associée à l’École de service social et de criminologie de l’Université Laval. Elle est également membre régulière de l’« Équipe de recherche sur le placement et l’adoption en protection de la jeunesse » ainsi que du partenariat de recherche « Familles en mouvance ». Elle dirige ou est associée à différents projets de recherche relatifs au placement en famille d'accueil et à l'application de la Loi sur la protection de la jeunesse.

     

  • Karine Poitras (auteur, Contributions de)

    Karine Poitras est professeure titulaire au Département de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Elle dirige le Laboratoire de psychologie légale au Département de psychologie de l’UQTR. Elle est également chercheuse régulière au Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF) du CIUSSS de la Capitale-Nationale. Ses travaux de recherche portent principalement sur la trajectoire de placement, sur le développement socioaffectif de l’enfant placé, sur le maintien des liens parent-enfant suivant le placement et sur l’évaluation des postulants comme familles d’accueil. Elle agit aussi à titre d’experte en psychologie, reconnue par la Cour Supérieure et la Cour du Québec depuis 20 ans.

     

  • Marie-Andrée Poirier est professeure titulaire l’École de travail social de l’Université de Montréal et directrice de l'École depuis juin 2021. Elle réalise depuis plusieurs années des projets sur les trajectoires de placement ainsi que sur l’univers familial dans lequel les enfants placés grandissent. Ses plus récents travaux portent sur la formation et l'expérience des parents d'accueil, les placements auprès des familles d’accueil de proximité, les visites supervisées et l’accompagnement des parents qui présentent des indices de délaissement. Réalisés en partenariat avec le milieu clinique et les associations de parents d’accueil, ses travaux de recherche accordent une grande importance à la valorisation des connaissances.

     

  • Marie-Ève Lapointe (Contributions de)

    Marie-Ève Lapointe est travailleuse sociale au CIUSSS de l’Estrie-CHUS et est étudiante à la maîtrise en service social à l’École de travail social de l’Université de Sherbrooke. Son mémoire porte sur l’intervention réalisée en milieu communautaire auprès des mères d’enfants placés. Prenant appui sur l’intervention en situation de crise, elle examine les interventions réalisées au moment du retrait de l’enfant et lorsque ce dernier est placé jusqu’à majorité.

     

  • Delphine Collin-Vézina (Contributions de)

    Delphine Collin-Vézina est directrice du Centre de recherche sur l'enfance et la famille, psychologue clinicienne et professeure titulaire à l'École de service social de l’université McGill. Elle est également membre associée du département de pédiatrie, où elle est titulaire de la chaire Nicolas Steinmetz et Gilles Julien en pédiatrie sociale en communauté. Elle est directrice du Consortium canadien sur les traumas chez les enfants et adolescents, qui regroupe 110 chercheurs, praticiens, décideurs et représentants gouvernementaux afin de mieux comprendre l'impact des événements adverses dans la vie des enfants et des jeunes, ainsi que leur expérience des services qui leur sont destinés.

     

  • Christiane Guay (Contributions de)

    Christiane Guay est professeure titulaire au Département de travail social de l'Université du Québec en Outaouais (UQO). Elle possède plus d’une vingtaine d’années d’expérience dans le domaine de l’intervention, de la supervision clinique, du développement de programmes et de la gestion des services sociaux. Ses intérêts de recherche gravitent autour du renouvellement des pratiques d’intervention sociale en contexte autochtone. Depuis quelques années, elle s’intéresse notamment aux réalités des familles autochtones qui se retrouvent assujetties aux régimes de protection de la jeunesse, et plus particulièrement à l’enjeu de la reconnaissance, par ces régimes, des conceptions singulières de la famille autochtone et des pratiques culturelles d’éducation, de protection, d’adoption coutumière et de guérison sur le territoire. Elle réalise actuellement des travaux sur les enjeux entourant la gouvernance autochtone en matière de protection de la jeunesse.

     

  • Tonino Esposito (Contributions de)

    Tonino Esposito est professeur agrégé à l’École de travail social de l’université de Montréal, rédacteur en chef adjoint de la revue internationale Child Abuse & Neglect, chercheur au Centre de recherche sur l’enfance et la famille à l’université McGill et à l’Institut universitaire Jeunes en difficulté, membre de l’équipe de recherche sur le placement et l’adoption et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en services sociaux pour les enfants vulnérables. Il s'intéresse à mieux comprendre les facteurs systémiques, socioéconomiques et géographiques qui maintiennent les enfants chroniquement impliqués dans le système de protection de la jeunesse et qui impacte négativement les capacités parentales.

     

  • Julie Noël (Contributions de)

    Julie Noël est professeure agrégée à l’École de travail social de l’Université de Sherbrooke. Elle s’intéresse aux familles en situation de vulnérabilité. Singulièrement, elle mène et contribue à des travaux de recherche portant sur l’expérience des parents d’enfants placés et adoptés dans le cadre d’une mesure de protection. Jusqu’à présent elle a examiné cette expérience dans les perspectives du pouvoir d’agir, de la reconnaissance sociale, de l’engagement et du deuil.

     

  • Sonia Hélie (Contributions de)

    Sonia Hélie est chercheuse à l’Institut universitaire Jeunes en difficulté. Elle est également professeure associée à l’École de travail social de l’Université de Montréal et membre de l’équipe de recherche sur le placement et l’adoption en contexte de protection de la jeunesse. Elle s’intéresse à l’épidémiologie des mauvais traitements envers les enfants et à leur trajectoire dans les services de protection de la jeunesse.

     

  • Eve Laoun (Contributions de)

    Eve Laoun est titulaire d’un baccalauréat en droit (Université de Montréal) et d’une maitrise en droit des Autochtones (Université d’Ottawa). Ayant notamment travaillé au sein de la Commission Viens, elle concentre sa pratique d’avocate en milieu autochtone depuis plusieurs années. Elle représente des parents autochtones dans le cadre de dossiers de la protection de la jeunesse et se déplace régulièrement au Nunavik. En parallèle, elle travaille également à titre de consultante pour plusieurs organisations autochtones (Makivvik Corporation, Regroupement des centres d’amitié autochtones du Québec, Montréal Autochtone, Native Women Shelter etc.) dans le cadre de développement de projets ou de tables de concertation visant à contrer les barrières systémiques à l’accès à la justice pour les personnes autochtones et à valoriser les traditions juridiques autochtones.

     

  • Amilie Dorval (Contributions de)

    Amilie Dorval est professeure régulière au département de psychoéducation et travail social de l’UQTR. Elle est chercheuse universitaire associée à l’institut Universitaire Jeunes en difficulté (IUJD) et chercheuse associée à l’Équipe de recherche sur le placement et l’adoption en protection de la jeunesse. Ces travaux portent principalement sur les pratiques de placement ainsi que sur l’expérience de la parentalité dans divers contextes, notamment ceux et celles œuvrant dans la marge.

     

  • Lisa Ellington (Contributions de)

    Lisa Ellington est professeure adjointe à l’École de travail social et de criminologie de l’Université Laval. Elle travaille depuis plus de 10 ans avec des communautés des Premières Nations et Inuit au Québec. Ses intérêts de recherche portent sur la protection de la jeunesse, la gouvernance autochtone des services sociaux et les approches participatives. En recueillant la parole des jeunes et des familles autochtones (biologiques et d’accueil), elle souhaite valoriser les savoirs de ceux et celles qui sont au cœur de l’intervention. Elle s’intéresse également aux pratiques professionnelles qui façonnent l’expérience de ces derniers, dans une optique de sécurisation culturelle et de prévention des placements.

     

  • Katherine Pascuzzo (Contributions de)

    Katherine Pascuzzo est professeure agrégée au département de psychoéducation de l’Université de Sherbrooke, membre du Groupe de Recherche et d’intervention sur les adaptations sociales de l’enfance (GRISE) et du Regroupement Provincial sur l’Attachement et l’intervention Relationnelle (REPAIRE), et chercheuse associée de l’Institut universitaire Jeunes en Difficulté (IUJD). Ses recherches ciblent les thèmes de l’attachement, de l’adaptation et de l’intervention auprès des jeunes vulnérables. Elle s’intéresse notamment aux processus de construction et de réparation de leur lien d’attachement avec leurs figures de soins et aux facteurs favorisant leur sentiment de sécurité.

     

  • Joannie Laporte (Contributions de)

    Joannie Laporte est candidate au doctorat en travail social à l’Université de Montréal (UdeM). Elle collabore avec de nombreux acteurs et actrices des milieux cliniques et de la recherche dans divers projets de l’Équipe de recherche sur le placement et l’adoption en protection de la jeunesse, de l’École de travail social de l’UdeM et de l’Institut universitaire jeunes en difficulté. Ses intérêts de recherche s’orientent principalement vers les situations d’abus sexuels, de trauma complexe, de placement et d’adoption.

     

  • Rosita Vargas Diaz (Contributions de)

    Rosita Vargas Diaz est professeure adjointe à l’École de travail social et de criminologie de l’Université Laval. Ses travaux intègrent les savoirs académiques et pratiques, analysant les pratiques d’intervention en protection de la jeunesse. Elle se concentre sur le processus décisionnel, le projet de vie de permanence, la participation des acteurs concernés et l’expérience des enfants, jeunes et familles vulnérables. Rosita a contribué à de nombreux projets de recherche en protection de l’enfance, notamment sur le placement, l’adoption, l’intervention auprès des familles migrantes, et la transition vers la vie adulte.

     

  • Aida Benaguida (Contributions de)

    Aida Benaguida est étudiante au doctorat en psychoéducation à l'Université de Montréal. Intéressée à la relation d'aide dans une perspective anti-oppressive et décoloniale, elle questionne la manière dont l'intégration socioprofessionnelle des jeunes considérés en situation de vulnérabilité scolaire et sociale est vue et réfléchie par les politiques publiques et les écrits scientifiques. Avec ses travaux de recherche, elle aspire à participer à reconceptualiser l'intégration des jeunes en considérant leur autodétermination, en particulier celleux dits vulnérables. 

     

  • Camille Buisson (Contributions de)

    Camille Buisson est candidate au doctorat en psychologie à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Elle collabore sur divers projets de recherche abordant la question du placement en protection de la jeunesse au sein de l’Équipe de recherche sur le placement et l’adoption en protection de la jeunesse et le Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF). Tant en clinique qu’en recherche, elle s’intéresse aux facteurs structurels qui traversent les pratiques sociales et judiciaires en protection de la jeunesse, notamment à partir de la notion de risque.

     

  • Emmanuelle Garcia (Contributions de)

    Emmanuelle Garcia est criminologue, professionnelle de recherche et candidate à la maîtrise en criminologie à l'Université Laval. Dans ses travaux, elle s'intéresse notamment aux points de vue des parents d'accueil autochtones quant aux principes de l'intérêt de l'enfant, de la continuité culturelle et de l'égalité réelle.

     

  • Audrey Gauthier-Légaré (Contributions de)

    Audrey Gauthier-Légaré est chercheuse d’établissement au Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF). Elle possède un doctorat en recherche en psychologie. Ses travaux portent sur le stress parental, la sécrétion cortisolaire de l’enfant, le développement de l’enfant et les interventions en protection de l’enfance.

     

  • Martine Guénette (Contributions de)

    Martine Guénette est professeure à l’École de travail social de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), candidate au doctorat en travail social à l’Université de Montréal et elle est également famille d’accueil régulière dans la région des Laurentides. Elle s’intéresse à l’expérience des parents d’accueil et plus particulièrement aux enjeux de parentalité en contexte de placement en protection de la jeunesse, à la formation de ces parents d’accueil et à la mesure de placement à majorité.

     

  • Marie-Pierre Joly (Contributions de)

    Marie-Pierre Joly est chargée de projet à l’Institut universitaire jeune en difficulté (IUJD) du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal et candidate au doctorat en travail social (Université de Montréal). À l’IUJD, ses contributions récentes portent sur la formation des familles d’accueil, le trauma complexe et l’accompagnement des jeunes enfants en contexte de protection de la jeunesse. Dans le cadre de son projet doctoral, elle s’intéresse à l’expérience des parents d’accueil, plus précisément aux enjeux éthiques qu’ils rencontrent dans l’exercice de leur rôle.

     

  • Marie-Noëlle Lagacé (Contributions de)

    Marie-Noëlle Lagacé, travailleuse sociale de formation, œuvre dans le domaine de la protection de la jeunesse depuis plus de 23 ans, ayant occupé différentes fonctions (intervenante à l'application des mesures, service évaluation/orientation, réviseure, adjointe à la révision et cheffe de service depuis au sein de l'équipe Enfance Sud-Est2). Tout au long de son parcours professionnel, elle a démontré un intérêt marqué pour les tout-petits et leur projet de vie et elle a développé une expertise reconnue pour les enjeux relatifs à la clientèle 0-5ans et la planification concurrente des projets de vie. 

     

  • Carmen Lavallée (Contributions de)

    Carmen Lavallée est professeure titulaire à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke où elle enseigne le droit des enfants et de la famille. Elle assume la direction du programme de maitrise en droit. Elle est membre du partenariat de recherche Familles en mouvance ainsi que du Groupe de recherche et d’intervention sur les adaptations sociales de l’enfance (GRISE). Ses principales activités de recherche se concentrent sur des questions relatives à la protection de l’enfance et à la conjugalité.

     

  • Vanessa Lecompte (Contributions de)

    Vanessa Lecompte est chercheuse d’établissement à l’Institut Universitaire Jeunes en difficulté (IUJD) et professeure associée au département de psychologie de l’UQAM. Elle est aussi chercheuse régulière au sein de l’Équipe de Recherche sur le Placement et l’Adoption en Protection de la jeunesse ainsi qu’au sein du Regroupement Provincial sur l’Attachement et l’intervention Relationnelle. Ses champs de recherche portent sur l’attachement de l’enfant, le développement de l’enfant, la parentalité et la santé mentale du parent en contexte de risques multiples. Ses travaux récents portent également sur la réunification familiale comme projet de vie en contexte de protection de la jeunesse. 

     

  • Josée Lemieux (Contributions de)

    Josée Lemieux, travailleuse sociale de formation, détient un DESSS en gestion. Elle œuvre en protection de la jeunesse depuis 31 ans, tant au secteur de la réception et du traitement des signalements qu'à l'évaluation des signalements et à l'application des mesures. En 2010, elle devient responsable de programmations qui ont pour but d'outiller les parents. En 2014, elle assume le rôle d'adjointe clinique, en 2015 elle devient cheffe de service d'abord aux ressources et maintenant à l'adoption en cogestion depuis février 2020. La cause des jeunes est au cœur de ses motivations et elle souhaite faire une différence afin que les enfants aient le meilleur projet de vie très tôt dès leur naissance.

     

Auteur(s) : Geneviève Pagé, Doris Chateauneuf, Karine Poitras, Marie-Andrée Poirier

Caractéristiques

Editeur : Presses de l'Université du Québec

Auteur(s) : Geneviève Pagé, Doris Chateauneuf, Karine Poitras, Marie-Andrée Poirier

Publication : 16 avril 2025

Intérieur : Noir & blanc

Support(s) : Livre numérique eBook [PDF]

Contenu(s) : PDF

Protection(s) : DRM Adobe (PDF)

Taille(s) : 2,42 Mo (PDF)

Langue(s) : Français

Code(s) CLIL : 3102

EAN13 Livre numérique eBook [PDF] : 9782760561540

EAN13 (papier) : 9782760561533

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