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Résumé

Un Voyage à Travers les Passions et les Conflits : 20 Ouvrages est une anthologie qui explore la richesse des émotions humaines à travers une mosaïque de styles littéraires. La collection rassemble des écrits variés, allant du roman psychologique aux récits réalistes, tous liés par la thématique centrale des passions humaines et des conflits qui en découlent. Parmi ces œuvres, certaines explorent les subtilités des relations interpersonnelles et les complexités des enjeux sociaux tandis que d'autres examinent les conflits internes des personnages, créant ainsi un panorama littéraire vivant et diversifié. Les auteurs réunis dans cette anthologie tels que Flaubert, Laclos, et Hugo, apportent chacun leur voix singulière à cette exploration des passions humaines. La diversité des origines culturelles et historiques des écrivains crée un dialogue intertextuel enrichissant qui reflète les mouvances littéraires et sociétales de leur temps. Des œuvres féministes de Juliane von Krüdener et Claire de Duras aux courants réalistes de Tolstoï et de Stendhal, chaque texte contribue à élargir la compréhension du lecteur face aux multiples facettes des émotions humaines. Recommandée pour les amateurs de littérature classique, cette collection est une opportunité unique de savourer une variété de perspectives sous un même thème. Les lecteurs sont invités à s'immerger dans ces œuvres qui offrent, à travers leur diversité stylistique et thématique, une compréhension approfondie des passions et des conflits universels. En explorant ce recueil, les lecteurs peuvent apprécier la richesse intellectuelle mobilisée par ces auteurs pour inspirer un débat continu sur la nature des passions humaines.

Auteur

  • Rodolphe Bringer (auteur)

    Écrivain et journaliste français. (1871 - 1943).

    Autre pseudonyme : J.W. Killbear.

    Il collabora probablement à L'Humanité, et certainement au Sourire (il en fut le secrétaire de rédaction puis le rédacteur en chef quand le titre devint Le Sourire de France). Pendant la Première Guerre mondiale, il donne des échos à L'Heure et des articles à La Rampe, Le Bonnet rouge, Le Journal du Peuple, Le Front. Il participe à la revue La Baïonnette en 1916. Il devient journaliste au Canard enchaîné de 1916 à 1935. Il s'occupe d'un magazine intitulé La Petite Semaine, composée de quatre feuilles insérées dans Le Sourire, un grand hebdomadaire humoristique de l'époque, dont il prend la rédaction en chef en 1917, jusqu'en 1922.

    Le directeur du Canard enchaîné, Maurice Maréchal, lance un journal humoristique nommé Le Pélican fin avril 1921, dont Rodolphe Bringer est le rédacteur en chef et directeur-gérant. Ce journal tint quelques mois, puis disparut devant la montée du journal Le Merle Blanc. Il était en fait une pâle copie du Canard enchaîné, journal humoristique, publiant « des romans, des contes, des nouvelles, des échos, des dessins », des articles dus à la plume de quelques-uns des collaborateurs du Canard enchaîné et d'autres amis proches.

    Rodolphe Bringer s'éloigne du Canard enchaîné vers 1935. Il est l'auteur de romans policiers, et d'ouvrages destinés à la jeunesse.

    Il mourut en 1943, dans sa chère retraite de Gonfle-Boufigue, alias Pierrelatte dans la Drôme. Son fils Jean Bringer, né le 28 août 1916 à Vincennes, fut assassiné par les Allemands sur le dépôt de munitions du Domaine de Baudrigues à Roullens le 19 août 1944 avec treize de ses camarades. Jean-Marie Bringer, son petit-fils et fils de Jean, unique descendant, grand défenseur de la Laïcité et adepte du Pastafarisme s'est éteint le 1er janvier 2011... (Wikipédia)

  • Gustave Flaubert (auteur)

    Gustave Flaubert (1821-1880) est un romancier français, auteur notamment de Madame Bovary, L’Education sentimentale, Salambô, ou encore Bouvard et Pécuchet.

  • Pierre Loti (auteur)

    Pierre Loti (1850-1923)

  • Jane Austen (auteur)

    Jane Austen est née le 16 décembre 1775 à Stevenson dans le Hampshire. Après la mort de son père, Jane Austen s’installe avec sa mère et sa sœur à Chatow, où elle va écrire l’essentiel de son œuvre. En 1811, un éditeur londonien soumet pour la première fois au grand public, sous couvert d’anonymat, Raison et Sentiments mais c’est avec Emma que Jane Austen s’impose véritablement sur la scène littéraire. Son œuvre compte aujourd'hui parmi les plu grands classiques de la littérature anglaise.
  • Pierre Ambroise François Choderlos de Laclos, est un général et écrivain français. Pendant ses nombreux temps libres, il écrit. D'abord un opéra-comique intitulé "Ernestine" sans gloire.
    En 1778, il commence à rédiger son chef-d’œuvre "Les Liaisons dangereuses". En 1781, promu capitaine-commandant de canonniers, il obtient une nouvelle permission de six mois, au cours de laquelle il achève son chef-d’œuvre. Il confie à l’éditeur Durand Neveu la tâche de le publier en quatre volumes qui sont proposés à la vente le 23 mars 1782.

  • Léon Tolstoi (auteur)

    Léon Tolstoï (1828-1910) est un écrivain russe resté célèbre surtout pour ses grands romans, notamment Guerre et paix (1869) et Anna Karénine (1877).

  • Victor Hugo (auteur)

    À deux reprises, l'enfance de Victor Hugo (1802-1885) est traversée de scènes qui peupleront l'imagination du poète, du dramaturge et de l'homme politique: à 5 ans, il traverse l'Italie avec sa mère pour retrouver son père, le colonel Hugo, en poste à Naples; il n'oubliera jamais les suppliciés, pendus aux arbres, les membres humains rouges de sang. À 9 ans, l'enfant rencontre à nouveau, dans l'Espagne en révolte contre l'armée impériale, la cruauté et la mort. Il a 10 ans lorsque son parrain, le général Lahorie, est exécuté pour sa participation à une tentative de coup d'État. La même année que Les Orientales (1829) paraît Le Dernier Jour d'un condamné qui dit l'horreur de la peine de mort: le poète et le moraliste subsisteront en Hugo jusqu'à la fin de sa vie. Cette tendresse pour les pauvres et les opprimés se manifestera dans Les Misérables (1862) qui dénonceront la fatalité sociale qui pèse sur les épaules de l'humanité. Alors que paraît Notre-Dame de Paris, en 1831, Claude Gueux tue le gardien-chef de la prison de Clairvaux, M. Delacelle. Son procès commence en mars 1832, à troyes. Il est condamné à mort et décapité le 1er juin 1832. La nouvelle de Victor Hugo (C&C n°2) paraîtra en juillet 1834. À plusieurs reprises, Hugo s'opposera à la peine de mort, aussi bien sur le plan législatif, quand il sera député, que pour défendre tel ou tel condamné: Tapner en 1854 à Guernesey ou John Brown en 1859, héros de la lutte contre l'esclavage aux États-Unis. La révolution de 1830 va engager l'évolution politique de Victor Hugo. Monarchiste par fidélité à sa mère, il accepte la monarchie constitutionnelle issue de ladite révolution et bénéficie des faveurs du régime: il est reçu à l'Académie française en 1841, nommé pair de France en 1845. La révolution de 1848 voit Hugo toujours incertain: le pair de France est républicain en principe, mais soutient la régence de la duchesse d'Orléans pour se rallier enfin au prince Louis-Napoléon qui porte un si grand nom... Peu à peu, son opposition devient irréductible et il se range résolument aux côtés des ouvriers qui subissent la répression sanglante de l'armée. Au lendemain du coup d'État, le 2 décembre 1851, qui fait de Louis-Napoléon Bonaparte l'empereur des Français, il doit prendre le chemin de l'exil. Les Châtiments (1853-1870) disent la colère du proscrit, le mépris pour "le petit homme" qui a pris le pouvoir dans le sang et la haine. Quand, en 1859, l'Empire offre l'amnistie aux exilés, Hugo la refuse avec hauteur. De retour en France en 1870 et siégeant à l'Assemblée, il est un homme seul qui affirme: "Je suis de ceux qui pensent qu'on peut détruire la misère". Il a de grands projets qu'il n'aura pas le temps de faire aboutir: "Abolition de la peine de mort - Abolition des peines infamantes et afflictives - Réforme de la magistrature - Actes préparatoires des États-Unis d'Europe - Instruction gratuite et obligatoire - Droits de la femme".

  • Stendhal (auteur)

    Henri Beyle, qui use depuis 1817 du pseudonyme de Stendhal, a 46 ans quand il publie, en 1829, Vanina Vanini. À cette date, il n’a écrit ni Le Rouge et Le Noir (1830), ni La Chartreuse de Parme (1839), et n’est connu que comme critique d’art, théoricien, pamphlétaire et auteur de « promenades » culturelles italiennes (Rome, Naples et Florence, 1817). Pourtant, par sa vie comme par son œuvre, il incline vers le romanesque.Stendhal est né à Grenoble en 1873. Très tôt marqué par la mort d’une mère chérie survenue quand il avait sept ans, il narre dans son autobiographie, Vie de Henri Brulard, la haine qu’il voue à un père fermé à toute beauté et à un précepteur tyrannique, ainsi que la mythologie personnelle dans laquelle il s’est réfugié : l’Italie, patrie d’origine de sa mère disparue, devient dans son imaginaire une terre idéale, « où les orangers fleurissent », où l’amour, l’art et le bonheur sont possibles. Au fil des ans, son désir de liberté s’accroît, amplifié par la découverte des écrits de Rousseau et de Voltaire. Bon élève, il suit l’enseignement de l’École centrale de Grenoble, avant de pouvoir enfin partir à Paris, en 1799, pour y préparer le concours d’entrée à l’École polytechnique.Mais une fois sur place, Stendhal abandonne cette idée. Pris dans le tourbillon politique qui résulte du coup d’État de Bonaparte (9 novembre 1799), il décide de lier son destin à celui du jeune général et participe à l’aventure des conquêtes napoléoniennes. Jusqu’en 1815, il alterne campagnes militaires (Italie, Allemagne, Russie) et fonctions administratives (auditeur au Conseil d’État en 1810) ; élégant, mondain et insouciant, il vit avec amertume la chute de l’Empire. Pourtant, il poursuit sa carrière, et continue de fréquenter sa patrie d’élection, l’Italie. Là, il se prend de passion pour Angela Pietragrua, puis pour Métilde Dembowski, qui le repousse.Accusé de sympathie pour les carbonari – affection particulièrement sensible dans Vanina Vanini–, il est expulsé de Milan en 1821. De retour en France, il prend part à la bataille romantique, prônant la rupture avec les règles classiques, au nom de la modernité (Racine et Shakespeare, 1823).Il est alors en passe de devenir une figure du monde littéraire parisien, lorsqu’en 1827 il change de cap et publie son premier roman, Armance. En dépit d’un échec cuisant, il persévère dans cette voie et se consacre pleinement à sa nouvelle carrière, tandis qu’il est nommé consul à Trieste en 1830 ; il publie ainsi quelques-unes des Chroniques italiennes (parmi lesquelles Vanina Vanini), Le Rouge et Le Noir, puis La Chartreuse, roman écrit en 52 jours. À sa mort, à Paris, en 1842, il laisse des manuscrits inachevés, dont Lucien Leuwen.Stendhal est donc venu fort tard au genre narratif. Romancier de talent, il a pourtant été critiqué par ses contemporains, peu habitués au caractère novateur d’une prose qui permet à la fois de dire la vérité et de provoquer un tête-à-tête imaginaire avec soi...

Caractéristiques

Publication : 11 décembre 2024

Intérieur : Noir & blanc

Support(s) : Livre numérique eBook [ePub + Mobi/Kindle + WEB]

Contenu(s) : ePub, Mobi/Kindle, WEB

Protection(s) : Marquage social (ePub), Marquage social (Mobi/Kindle), DRM (WEB)

Taille(s) : 12,2 Mo (ePub), 33,3 Mo (Mobi/Kindle), 1 octet (WEB)

Langue(s) : Français

Code(s) CLIL : 3459

EAN13 Livre numérique eBook [ePub + Mobi/Kindle + WEB] : 9788028380526

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