Je suis la femme d'Henry

La femme d’Henry à l’âge innocent cherche l’amour des siens. Étudiante, elle connaît la solitude dans son deux-pièces parisien. Femme, elle découvre à San Diego une nouvelle vie dans la villa d’Henry. Dans son appartement parisien et son bunker, la femme d’Henry respire entre rêverie et réalité. De sa plume, s’évaporent des contes. Elle ose se prendre pour Alice aux Pays des Merveilles. Depuis son retour en Amérique, en elle, résonnent l’Américaine et la Française. Elle cuisine un carré d‘agneau au thym, croque dans une tarte Tatin, boit de l’Ice Impérial. À San Diego, elle déjeune d’une Cobb Salade. De la fenêtre de sa cuisine, la femme d’Henry a vue sur la piscine et nage seule chaque jour, arrange une fête, cherche son mari sous les étoiles. La piscine s’agite sans cesse bouleversant sa vie. La femme d’Henry au physique passe partout s’attache à se métamorphoser en une beauté afin d’entrer dans le microcosme mondain d’Henry. Dans le labyrinthe intérieur de La femme d’Henry vont et viennent Henry, Thomas, Andrew, Olivier, son père, Warren et William dans un entrelacs de tourments, de jalousie, d’amertume, d’errance et de contradiction. Une goutte de bonheur étreint la femme d’Henry lorsqu’elle se marie au bord de la piscine. La femme d’Henry se mordille sans cesse les lèvres en regardant les hommes de sa vie et leurs chats les accompagnant. Sale tic révélant ses errances et ses doutes sur le monde masculin. Mais que cherche et veut la femme d’Henry avec les hommes de sa vie ?