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Résumé

Un maître et son valet, une maîtresse et sa servante échouent sur une île après un naufrage. Ils sont sains et saufs mais vivront une expérience marquante puisque les valets vont devenir les maîtres de leurs maîtres… Une bonne façon de se rendre compte de ce qu’on fait subir à ses subordonnés. Après cette inversion des rôles, chacun rentrera chez lui et retrouvera sa place, éclairé par la leçon donnée sur l’'Île des esclaves'. Une courte pièce qui donne à réfléchir.Au fil de la pièce :• Préparation à l’oral : 2 explications de textes• Préparation à l’écrit : 1 commentaire de texteLe dossier est composé de 8 chapitres :1 - Histoire littéraire : L’esprit Régence2 - Marivaux et son temps3 - Présentation de L’Île des esclaves4 - Les mots importants de L’Île des esclaves (autorité / obéissance ; leçon / épreuve ; condition)5 - Préparation à l’écrit : contraction de texte et essai6 - La grammaire7 - Groupement de textes autour du parcours : Maîtres et valetsMolière, Dom JuanAlain-René Lesage, Crispin rival de son maîtreAlfred de Musset, On ne badine pas avec l’amourMarie NDiaye, Hilda8 - Exercices d’appropriation.

Auteur

  • Pierre Marivaux (auteur)

    Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux est issu d’une famille de noblesse de robe. Il naît à Paris en 1688, mais grandit à Riom (Auvergne) où son père Nicolas Carlet occupe la charge de contrôleur puis de directeur de la Monnaie (1704-1719), charge obtenue grâce au soutien de la famille de son épouse, plus aisée : Anne-Marie Bullet, dont le frère, Pierre Bullet, est architecte royal. Après des études classiques, Pierre Carlet revient à Paris et s’inscrit à la faculté de droit (1710) dans l’intention de devenir avocat et de succéder à son père comme fonctionnaire royal. Mais dès son arrivée, il fréquente les milieux artistiques et intellectuels, notamment le salon de Mme de Lambert où il ne tarde pas à rallier le camp des Modernes rassemblés autour du philosophe Fontenelle. Grâce au soutien de ce dernier, il publie sa première pièce, Le Père prudent et équitable, ainsi que son premier roman, Les Effets surprenants de la sympathie (1713), et rejoint le groupe des Modernes dans la rédaction du journal Le Nouveau Mercure (1717). Marivaux vient de débuter une carrière d’écrivain quand il épouse Colombe Bollogne, fille d’un avocat « conseiller du roi » : elle lui apporte une dot qui partira en fumée dans la banqueroute du financier Law (1720). Complètement ruiné, Marivaux, à qui l’on vient de refuser la succession de son père, devient un homme de lettres professionnel. Tout en conservant ses habitudes mondaines, il poursuit sa carrière entamée dans ses trois domaines de prédilection. Il crée son propre journal, Le Spectateur français (1721), puis L’Indigent philosophe (1727) et Le Cabinet du philosophe (1734), avant de revenir au Mercure (1751-1758). Dans le même temps, il écrit pour le Théâtre-Italien vingt-sept comédies en prose (dont dix-huit en un acte) et presque autant pour le Théâtre-Français et les théâtres de société. Il publie encore deux romans inachevés : La Vie de Marianne, dont la parution s’étend sur dix ans, et Le Paysan parvenu, deux autobiographies fictives tout aussi originales dans leurs techniques narratives que dans le choix des vies racontées. Après son élection à l’Académie (1742) – gagnée contre Voltaire –, il se consacre aux séances du dictionnaire et à l’écriture de discours académiques, en forme de « réflexions » morales ou esthétiques. En 1744, après plus de vingt ans de veuvage, il s’installe avec Mlle de Saint-Jean dans son hôtel particulier, tandis que sa fille unique, faute de dot, entre au couvent. Si sa production théâtrale se ralentit, ses pièces anciennes sont constamment reprises par les Italiens (L’Île des esclaves, 1757) et les Comédiens-Français (La Surprise de l’amour, 1763). Certaines, trop audacieuses, n’ont pas encore trouvé leur public du vivant de Marivaux, telle La Colonie, publiée en 1750. Du moins, comme l’avait prévu Fréron (critique littéraire, 1718-1776, auteur de pamphlets contre Voltaire), « la postérité jouira de ses écrits », mais elle n’aura pas comme ses contemporains « l’avantage d’en posséder l’auteur, d’admirer en lui l’accord heureux des talents et des vertus, et de trouver dans l’écrivain estimable le galant homme et le citoyen le plus digne d’être aimé ».

Auteur(s) : Pierre Marivaux

Caractéristiques

Editeur : Editions Gallimard

Auteur(s) : Pierre Marivaux

Publication : 7 juillet 2020

Intérieur : Noir & blanc

Support(s) : Livre numérique eBook [ePub], Livre numérique eBook [PDF]

Contenu(s) : ePub, PDF

Protection(s) : Marquage social (ePub), Marquage social (PDF)

Taille(s) : 3,51 Mo (ePub), 4,13 Mo (PDF)

Langue(s) : Français

Code(s) CLIL : 3038

EAN13 Livre numérique eBook [ePub] : 9782072900211

EAN13 Livre numérique eBook [PDF] : 9782072900181

EAN13 (papier) : 9782072900174

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