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Résumé

Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.

Auteur

  • André Leroi-Gourhan (Collection dirigée par)

    Cet article provient de l’Encyclopédie philosophique universelle, III : les œuvres philosophiques, tome 2 (sous la dir. de Jean-François Mattéi), Paris, PUF, 1992. LEROI-GOURHAN André 1915-1982 André Leroi-Gourhan a commencé sa carrière au département de technologie du Musée de l’Homme – qu’il n’a jamais quitté. Comme complément à sa formation universitaire, ayant étudié le japonais à l’École nationale des langues orientales, il part avec sa femme en Extrême-Orient (Japon et Asie du Nord-Est) où il étudie pendant plusieurs années diverses sociétés. Rentré en France, il prend la responsabilité du département de technologie, puis est nommé à la seconde chaire d’ethnologie (la première étant celle de Marcel Griaule à la Sorbonne), qui venait d’être créée à la Faculté des Lettres de Lyon au lendemain de la guerre. Élu à la Sorbonne en 1957, puis, quelques années après, au Collège de France, il crée auprès de l’Institut d’Ethnologie le Centre de formation aux recherches ethnologiques qui, en liaison avec Roger Bastide, a eu un rôle important en ethnologie française, et marqué un renouveau à la fois méthodologique et pédagogique (ses secrétaires ont été successivement : H. Chombart de Lauwe, G. Granai, J. Poirier ; du cfre sont sortis, entre autres, G. Condominas, M. de Fontanès, J. Guiart, L. Molet, C. Pairault, V. Pâques).Le geste et la parole. I. Technique et langage, II. La mémoire et les rythmes 1969-1965 On peut sans doute distinguer chez Leroi-Gourhan, sinon trois phases, du moins trois mouvements de sa recherche, qui ne se sont pas succédé à proprement parler, mais qui se sont toujours interpénétrés, en présentant des dominantes pour chaque “ temps ”. Un premier temps est celui de la technologie. Telle a été la première direction, celle de sa première affectation au Musée de l’Homme. Et il faut bien avouer que cet immense secteur de l’activité humaine était demeuré jusqu’alors assez délaissé. En français, les travaux les plus intéressants étaient ceux de G. Montandon, lequel, quelques années plus tard, allait être assez injustement tenu à l’écart, après la Seconde Guerre mondiale. Dès son entrée, au milieu des collections parfois encore vierges, Leroi-Gourhan entreprend une tache méthodique, quotidienne, d’identification, de classement et d’interprétation. Travail véritablement monumental que seule à notre sens une disposition naturelle lui a permis de mener à bien : son admirable talent de dessinateur. De la technologie, en remontant aux formes anciennes des objets, l’auteur est passé tout naturellement à la préhistoire. Une heureuse coïncidence a sanctionné ce rapprochement : les longs séjours qu’il avait faits en Extrême-Orient, au japon et en Asie nord-orientale : il est indiscutable qu’il a rencontré chez les Eskimos et les Aïnous une sorte de préhistoire vivante. A la tête d’un groupe d’étudiants avancés, il a été l’ “ inventeur ” de nombreux sites, patiemment fouillés d’année en année, d’abord en Bourgogne, à Arcy-sur-Cure, puis à Pincevent. L’apport de Leroi-Gourhan, en préhistoire a marqué un tournant de la discipline ; il a été le créateur en France de la préhistoire quantitative fondée sur l’enregistrement et l’analyse statistique des matériaux ; il a été à l’origine de l’interprétation symbolique des gravures et peintures rupestres ; il a montré que l’art préhistorique fonctionne comme un langage, et a esquissé une technique de décryptage. Au-delà des apports et des découvertes réalisés dans ces deux disciplines, il nous semble que le principal mérite d’André Leroi-Gourhan a été de considérer celles-ci comme parties intégrantes de l’ethnologie générale : il a montré à la fois comment l’ethnologie pouvait prendre appui sur la technologie culturelle et la préhistoire, et comment celles-ci prenaient valeur et sens par l’ethnologie. Enfin, nous voudrions souligner l’importance de la dernière leçon qu’il nous a laissée – l’une des plus importantes, sans doute, quoique plutôt mal comprise ; elle compte en effet par son intérêt méthodologique : c’est une leçon de factualisme. A un journaliste qui le pressait de questions sur la base théorique qui devait être le soubassement de sa recherche, Leroi-Gourhan répondit : “ Je n’ai pas de théorie préalable ! ” Exemple à la fois de courage intellectuel et leçon méthodologique. En effet, c’était l’époque où il était non seulement de bon ton, mais de bonne méthode, de se harnacher d’une théorisation pédante qui était censée guider l’action et lui donner un sens. Ces dérisoires artifices étaient bien éloignés de la pensée de Leroi-Gourhan. Il les jugeait pour ce qu’ils sont : de mauvais prétextes à fuir le vrai corps à corps avec le terrain, des écrans ou des masques, des leurres et des faux-semblants ; il s’en méfiait à bon escient ; il n’en a jamais eu, parce qu’il n’en a jamais eu besoin : il tirait ses propres ressources de lui-même. Il avait raison d’avertir qu’en aucun cas le chercheur ne doit, comme il arrive trop souvent aujourd’hui, aborder le terrain avec une grille conceptuelle préconstituée fondée sur des prénotions idéologiques. On retiendra de l’œuvre de Leroi-Gourhan une leçon qui se situe dans la perspective historique de Marcel Mauss : l’animal humain ne peut être compris que s’il est appréhendé dans son triple environnement : son passé préhistorique, sa nature biologique et son milieu “ matériel ”, c’est-à-dire économique et technologique. La socialité comporte ce conditionnement complexe dont l’étude est si souvent négligée ; le milieu social, avant d’être un déterminant, est un déterminé. C’est en spécialiste que Leroi-Gourhan a abordé ces problèmes. Il ne faut pas oublier qu’il a désiré préparer (avec le professeur Piveteau) un doctorat d’État de sciences. Il considérait que l’ethnologie ne pouvait être que la résultante de ces disciplines que sont la paléontologie humaine, la préhistoire et la technologie. Telle était d’ailleurs, depuis les précurseurs et Quatrefages, la tradition scientifique française.   Son attention, sans cesse orientée vers ce qui pouvait en effet permettre de mieux comprendre les véritables fondements de l’hominité, lui a permis de dégager, au plan épistémologique, la signification de la discipline ethnologique, conçue comme la synthèse des trois grands héritages ou conditionnements collectifs : la lente maturation paléontologique,     le dispositif technique (englobant l’influence du milieu naturel et l’économique) et l’ensemble des modèles traditionnels. Il a abouti à fonder ainsi un nouvel humanisme, “ un humanisme qui non seulement atteigne les limites de l’homme de la Terre entière, mais encore incorpore la réalité de l’homme matériel à la réalité de l’homme religieux ou social ” (Ethnologie de l’Union française) – et qui l’amenait à assigner à l’ethnologie une finalité spécifique : “ le rôle de l’ethnologie ”, écrivait-il, “ est de dégager les formules d’équilibre des groupes humains ” (“ L’expérience ethnologique ”, in Ethnologie générale). (J. Poirier)   u La civilisation du renne, Paris, Gallimard, 1936. — Milieu et technique, Paris, A. Michel, 2 vol., 1943-1945. — Archéologie du Pacifique nord, Paris, Institut d’Ethnologie, 1946. — Ethnologie de l’Union française (avec J. Poirier), Paris, puf, 2 vol., 1953. — Hommes de la préhistoire. Les chasseurs, Paris, Bourrelier, 1955. — “ L’homme ”, Encyclopédie Clartés, vol. 4 bis, Paris, 1956. — Les religions de la préhistoire, Paris, puf, 1964. — Préhistoire de l’art occidental, Paris, Mazenod, 1965. — Le geste et la parole, I. Technique et langage, II. La mémoire et les rythmes, Paris, A. Michel, 1964-1965.   l L’homme hier et aujourd’hui, Paris, Cujas, 1973.
  • Claude Lévi-Strauss (Collection dirigée par)

    Cet article provient du Dictionnaire des sciences humaines, sous la dir. de Sylvie Mesure et Patrick Savidan, Paris, PUF, coll. “ Quadrige/Dicos poche ”, 2006. LÉVI-STRAUSS Claude Claude Lévi-Strauss est né en 1908 à Bruxelles, de parents français. Il étudie à Paris en Sorbonne le droit et la philosophie (agrégation de 1931). En 1934, il part pour le Brésil où il s’est vu offrir un poste en sociologie dans la toute nouvelle université de São Paulo ; il conduit deux expéditions ethnographiques dans le Mato Grosso et retourne en France en 1939. Menacé par les lois de Vichy, il décide de se réfugier aux États-Unis. Il arrive à New York en 1941 ; il y rencontre Jakobson et découvre avec lui la linguistique structurale. Il revient à New York après la guerre comme conseiller culturel jusqu’en 1948. La même année, il soutient sa thèse à Paris sur Les Structures élémentaires de la parenté ([1949] 2002] ; il entre au cnrs puis à l’ehess en 1950 son “ Introduction à l’œuvre de Marcel Mauss ” lui permet d’énoncer quelques directions essentielles de l’approche structuraliste. Tristes tropiques publié en 1955 est un succès de librairie ; avec Anthropologie structurale – parue en 1958 – il confirme ses concepts et sa méthode. Il entre au Collège de France en 1959, crée la revue L’Homme en 1961. En 1962 paraissent Totémisme aujourd’hui et La Pensée sauvage et entre 1964 et 1971, les quatre volumes des Mythologiques. En 1973, il entre à l’Académie française. Viennent ensuite deux recueils d’articles ([1973] 1997 et 1983) et divers essais : sur les masques ([1975] 2004), sur les mythes ([1985] 2005 et [1991] 2004) ou sur l’art (1993). L’apport théorique de Lévi-Strauss est considérable ; cette œuvre témoigne d’abord de l’ambition de prendre le terme même d’anthropologie au sérieux, c’est-à-dire de constituer un savoir de l’homme en tant que tel. Ce projet a pu s’accomplir par une révolution dans la méthode que permettait le concept de structure compris non plus comme description des relations directement observables dans la société, mais comme modèle de ces relations (il s’agit donc d’identifier des invariants à travers des transformations comme le font les linguistes, les mathématiciens ou les paléontologues). Lévi-Strauss souligne bien que ce genre de relations relativement stables n’apparaît que dans certains objets et sous certaines conditions. L’analyse structurale n’est donc légitime et productive que dans certains cas, tels que les formes élémentaires de la parenté, les taxinomies, les faits dits de “ totémisme ”, les rituels, les récits mythiques ou certaines productions plastiques. Elle est plutôt à éviter dans les domaines où les facteurs probabilistes l’emportent sur l’ordre mécanique. Les structures de la parenté C’est cette conception de la structure qui s’impose dans le premier grand ouvrage de Lévi-Strauss, Les Structures élémentaires de la parenté ([1949] 2002). Un bon exemple nous en est donné par ce qu’il a appelé l’atome de parenté. L’anthropologie traditionnelle tenait pour évidente que l’élément de base de la parenté était le groupe biologique parents/enfants. Lévi-Strauss démontre que socialement (ou culturellement) le groupe élémentaire comporte un homme, une femme et un représentant du groupe qui a cédé celle-ci ; dans beaucoup de sociétés traditionnelles ce représentant est le frère de l’épouse (la fameuse figure de l’oncle). Le couple est donc d’abord un fait d’alliance entre deux groupes. C’est un système à trois termes : époux-épouse-donateur. Donc un fait de réciprocité, c’est-à-dire un cas éminent du don réciproque cérémoniel ; d’où la réinterprétation radicale de l’interdit de l’inceste qui n’est pas d’abord un interdit religieux, moral ou biologique, mais l’obligation sociale de donner, de recevoir et de rendre. Tel est le fondement de l’exogamie (laquelle peut se spécifier en règles particulières, par clans, moitiés, groupes statutaires, etc.). On comprend donc que tout système de parenté est d’abord constitué de rapports d’alliance entre groupes avant de l’être de rapports de filiation entre générations (filiation “ matri- ”, “ patri- ” ou pluri-linéaires) et de rapports de consanguinité entre germains (plus ou moins souples ou intenses, incluant frères et sueurs, cousins et cousines de manière plus ou moins étendue). Les savoirs traditionnels et la pensée sauvage Après l’analyse des faits de parenté, Lévi-Strauss a testé sa méthode sur un terrain très différent : celui des formes traditionnelles de classification des objets du monde naturel. Il ouvre cette recherche en reprenant un problème ancien, controversé et apparemment insoluble : celui du soi-disant totémisme. Faux problème montre Lévi-Strauss parce que mal posé. En effet, on avait cherché à expliquer une correspondance terme à terme entre le monde humain et le monde naturel. En fait le totémisme n’est pas autre chose qu’une manière d’établir et d’exprimer un système de différences entre les hommes (individus ou groupes) à l’aide d’un système de différences entre des animaux, des plantes ou des objets quelconques. Ce ne sont pas les hommes et les choses qui se ressemblent (selon la vieille théorie de l’identification au “ totem ”), mais ce qui se ressemble ce sont des rapports différentiels (tel clan est à tel autre comme l’ours l’est à l’aigle, le saumon à la tortue, etc.). Cela suppose tout d’abord, bien sûr, une capacité de l’esprit humain à reconnaître les différences et à classer les choses elles-mêmes. Or, ce que nous montrent les savoirs traditionnels c’est que ce travail de classification est très sophistiqué ; ce qui veut dire qu’il n’est pas d’abord guidé par l’intérêt vital (alimentaire, ou tactique) mais bien par le désir de comprendre et d’interpréter le monde ; bref, comme le rappelle Lévi-Strauss, les choses ne sont pas seulement “ bonnes à manger ”, mais “ bonnes à penser ”. Il importe donc de ce point de vue de ne pas sous-estimer la puissance spéculative de la “ pensée sauvage ”. Les systèmes symboliques qui y prospèrent sont fondés sur des valeurs différentielles elles-mêmes issues des opérations de classification du monde observé. L’analyse des mythes Cet exercice de la pensée sauvage apparaît particulièrement dans la production des récits mythiques. Les mythes sont, selon Lévi-Strauss, une expression complexe des formes de pensée inhérentes à une culture ou à un ensemble de cultures (ce qui renvoie à un corpus empirique) et en même temps que s’y révèlent des processus mentaux partout vérifiables (et cela concerne des opérations qui font partie de l’équipement de base de tout esprit humain). C’est pourquoi, dans l’interprétation des mythes, il n’est pas possible de maintenir l’approche purement fonctionnaliste (qui cherche le seul besoin derrière le récit) ni l’approche symboliste (qui cherche des clefs d’interprétation universelle) ni l’approche psychologique (qui cherche des archétypes). Certes les mythes renvoient à un milieu empirique (géographique, technique, social) et l’expriment directement ou non, mais surtout ils construisent une représentation où par l’utilisation catégoriale des éléments sensibles (diversité des espèces, des lieux, des formes, des couleurs, des matières, des directions, des sons, des températures, etc.) se met en place à la fois un ordre symbolique des choses et des hommes (cosmogonie, sociogonie) et où surtout s’exercent les facultés logiques de l’esprit : opposition, symétrie, contradiction, disjonction, négation, inclusion, exclusion, complémentarité, etc. D’où le caractère surprenant de certains mythes qui ne répondent à aucune étiologie, c’est-à-dire à aucune situation référentielle précise mais semblent seulement naître et se développer pour le plaisir d’un jeu spéculatif pur. Selon une telle approche, on comprend qu’un récit ne peut pas être intéressant individuellement. Il y a des éléments qui reviennent d’un mythe à l’autre (mythèmes ou segments) ; il y a des récits qui ont des rapports par paquets (symétriques, oppositionnels, etc.), et il y a enfin des cycles entiers avec des groupes de mythes qui s’articulent en réseaux. On ne peut donc rien comprendre à la lecture horizontale (ou mélodique) d’un mythe, c’est-à-dire à la suite des événements qui semble le plus souvent incohérente et capricieuse, si on ne fait en même temps la lecture verticale (ou polyphonique) qui met chaque segment en rapport avec d’autres segments identiques ou opposés – ou ce qu’on voudra – d’autres mythes. L’apport théorique le plus original et le plus ambitieux de Lévi-Strauss a été de démontrer que ces réseaux étaient faits de groupes de transformation (au sens mathématique et morphologique du terme). Sans qu’il soit question d’aborder ici certains aspects plus larges de la pensée de Lévi-Strauss (sur l’esthétique, la morale, la question de l’histoire, les catégories mentales), concluons simplement par un bilan des recherches réalisées dans les trois champs indiqués ci-dessus. Tout d’abord on peut dire que le recours au modèle structural issu de la linguistique et des mathématiques a permis à Lévi-Strauss de mettre en évidence des invariants où l’on ne voyait que de simples récurrences empiriques, voire des résidus d’une histoire perdue. Le modèle a fonctionné efficacement pour les structures élémentaires de parenté. Il s’est avéré trop limité pour les structures complexes (comme celles des sociétés modernes que Lévi-Strauss a renoncé à aborder). Il s’est avéré également vite insuffisant pour les récits mythiques. C’est pourquoi Lévi-Strauss fait appel à la musique pour modéliser une simultanéité de relations et d’implications (les codes) dans la successivité des événements (les récits). Incontestablement il s’agit d’une œuvre de pionnier qui a renouvelé profondément le champ de l’anthropologie en proposant à celle-ci la tâche de mettre en évidence, à travers la diversité des cultures, les capacités et les procédures mentales qui sont communes à la totalité de notre espèce indépendamment de toute limite d’espace et de temps puisque partout “ l’homme a toujours pensé aussi bien ” ([1958] 1995).   l Les Structures élémentaires de la parenté (1949), New York, Mouton de Gruyter, 2002. — “ Introduction à l’œuvre de Marcel Mauss ”, in M. Mauss, Sociologie et anthropologie (1950), Paris, puf “ Quadrige ”, 2004. — Tristes tropiques (1955), Paris, Pocket, 2001. — Anthropologie structurale (1958), Paris, Plon, 1995. — Le Totémisme aujourd’hui (1962), Paris, puf, 2002. — La Pensée sauvage (1962), Paris, Pocket, 1990. — Mythologiques I, Le Cru et le cuit (1964), Paris, Plon, 1990. — Mythologiques II, Du Miel aux cendres (1967), Paris, Plon, 1990. — Mythologiques III, L’Origine des manières de table (1968), Paris, Plon, 1990. — Mythologiques IV, L’Homme nu (1967), Paris, Plon, 1990. — Anthropologie structurale deux (1973), Paris, Pocket, 1997. — La Voie des masques (1975), Paris, Pocket, 2004. — Le Regard éloigné, Paris, Plon, 1983. — La Potière jalouse (1985), Paris, Pocket, 2005. — Histoire de Lynx (1991), Paris, Pocket, 2004. — Regarder, écouter, lire, Paris, Plon, 1993.   u Desvaux E., Quadratura Americana. Essai d’anthropologie lévi-straussienne, Genève, Georg Éditeur, 2001. — Hénaff M., Claude Lévi-Strauss et l’anthropologie structurale (1991), Paris, Pocket, 2000. — Karsenti B. (dir.), Archives de philosophie, 2003, no 66 ; Critique, 1999, no 620-621 ; “ La Pensée sauvage et le structuralisme ”, Esprit, 1963, no 322. — Leach E. R., Lévi-Strauss, trad. D. Verguin, Paris, Seghers, 1970. — Scubla L., Lire Lévi-Strauss, Paris, Odile Jacob, 1998. — Sperber D., Le Structuralisme en anthropologie (1968), Paris, Seuil, 1973. — Mongin O. & Hénaff M. (dir.), “ Une anthropologie bonne à penser ”, Esprit, 2004. — Wiseman B. (dir.), Les Temps Modernes, 2004.   Marcel Hénaff

Auteur(s) : Jean-Émile Mbot

Caractéristiques

Auteur(s) : Jean-Émile Mbot

Publication : 1 janvier 1975

Intérieur : Noir & blanc

Support(s) : Livre numérique eBook [PDF]

Contenu(s) : PDF

Protection(s) : Marquage social (PDF)

Taille(s) : 46,5 Mo (PDF)

Langue(s) : Français

Code(s) CLIL : 3146, 3080

EAN13 Livre numérique eBook [PDF] : 9782307380108

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