Un été en banlieue
décembre 2012
« (...) Désalliers réussit à caractériser et à faire vivre la petite ville de son roman de même qu’à nous faire croire à ses personnages du début à la fin. Il faut reconnaître en ce jeune auteur l’inventivité et l’originalité d’un écrivain de talent.»Stéphane Larivée, Québec français« (…) Vous l'aurez compris, Un été en banlieue m'est apparu un roman bien fait. François Désalliers a créé un univers dans lequel on entre agréablement grâce à des personnages qui peuvent nous ressembler, pour le meilleur et pour le pire. Puis, l'auteur alimente la trame de son récit de toute la dynamique utile et nécessaire à la coexistence en société, joies et drames à l'avenant. On embarque, on y croît. Que demander de mieux à une fiction, sinon de nous faire entrer dans un monde suffisamment différent du nôtre pour qu'on s'y plaise. »Jean-François Crépeau, Le Canada Français« (…) Le style est alerte, le regard, décapant. On se surprend à se délecter de ces portraits de banlieusards pas si banals que ça. »Anne Bourgon, 7 jours« Un été en banlieue ne déçoit pas et on a hâte de lire le prochain. »Sabin Desmeules, L'Acadie Nouvelle« (…) François Désalliers, en partant d'une réalité quelconque, réussit toujours à faire vivre à ses personnages des aventures hors de l'ordinaire. On s'attache également à eux car ils ont tous une profondeur et une dimension humaine palpable. Lorsqu'on sait raconter une histoire comme il sait le faire, ça ne gâche rien. François Désalliers est décidemment un auteur à suivre. »Éric Simard, CKRL - Encrage« (…) j'avais mentionné rapidement ce titre dans un commentaire, mais je reviens à la charge parce que je crois sincèrement que François Désalliers (que j'avais découvert avec L'Homme-Café) mérite de se faire connaître par un plus large public. C'est un excellent conteur et il sait ficeler de bonnes histoires simples qui ont du souffle. Elles ont du souffle parce que tous ses personnages ont de la substance. Dans celui-ci, on suit les élucubrations amoureuses et existentielles des membres d'un ciné-club privé. Grave, léger et jamais ennuyant. »Éric Simard, Carnet d'Éric Simard (Internet)« Cet auteur a une plume que je qualifierais de joyeuse et lucide. Un plaisir à lire, car nous entrons avec lui dans l'univers qu'il veut bien nous faire connaître. »Reine MacDonald, CFLM 1240 Radio Haute-Mauricie« (…) Désalliers est à l'écriture ce que Woody Allen est au cinéma. Une belle reproduction théâtrale de notre quotidien. À lire absolument. »Denis Lévesque, CHRM - Magazine CHRM (Matane)« (…) On trouve ici de l'humour, du suspens, de la tendresse, des moments forts - même l'émotion est de la partie! Un beau pan d'humanité, finalement! »Uparathi Provencher, Planète Québec« (…) François Désalliers a un talent de conteur évident. Cela donne un récit très accessible. Un été en banlieue me semble avoir tous les ingrédients pour rejoindre un vaste public. »Donald Alarie, Portail de Lanaudière (Internet)« (…) À n'en pas douter, un très bon roman. »Carole beaudoin, Les Écrivains Québécois (Internet)« (…) Car François Désalliers a cet art de conférer un statut quasi mythique, initiatique aux gestes, aux événements, aux personnages pourtant les plus ordinaires, les plus quotidiens. Et il sait mettre au service de ce travail de sublimation l'art remarquable du conteur, un sens inouï du dialogue et un humour aussi décapant qu'inattendu. Car François Désalliers a cet art de conférer un statut quasi mythique, initiatique aux gestes, aux événements, aux personnages pourtant les plus ordinaires, les plus quotidiens. Et il sait mettre au service de ce travail de sublimation l'art remarquable du conteur, un sens inouï du dialogue et un humour aussi décapant qu'inattendu. »Site Passion du livre