L'Homme-café
février 2013
« (…) l'inspiration de l'auteur surprend et ravit de page en page et l'on s'éprend de cet homme dont l'histoire tout à fait singulière et captivante se déroule au fil des jours de réclusion avec une cohérence saisissante. (…) Si vous êtes amateurs de récits originaux, étonnants, nourris de l'intérieur et sans artifices, alors L'Homme-café vous séduira et vous laissera un souvenir prégnant. »Luc Proulx, L'Éveil (St-Eustache)« (…) François Désalliers offre avec L’Homme-café un troisième roman délicieux, liant et si bien dosé qu’il est quasiment impossible d’en interrompre la lecture avant de l’avoir terminé. L’auteur parvient en effet à nous plonger directement au cœur de son aventure fantaisiste et en à activer les rouages à travers une imagination profuse, de nombreux rebondissements, et surtout une écriture remarquable. Ses qualités narratives, auxquels se mêlent poésie, humour et théâtralité, modèlent ainsi cette sorte de fable de la vie moderne en un récit à la fois dynamique et ludique, propre justement à créer ce plaisir de la lecture qui accompagne un bon roman d’aventures. »Alice Finaz, Voir« Je me suis perdue pendant quatre jours dans le monde de Jean-Marie Lalonde, habitant du Café Mollo. J’ai mangé, marché, pris le métro et manqué une station avec ce roman. Je n’ai pas ri ou pleuré mais j’ai sérieusement réfléchi. François Désalliers a réussi à faire vivre une foule de personnages attachants dans un huis clos. (…) Un très bon roman. »Kathleen Wynd, Bibliothèque Père-Ambroise« Un roman original, plein d’humour et de poésie qui vous fera réfléchir en douce. »Michel Doucet, Radio-Canada - Le Réveil (Nouveau-Brunswick)« Dans ce roman aux accents baroques, François Désalliers propose une intéressante réflexion sur la solitude, la création et, vous l’aurez deviné, les relations interpersonnelles. »Hélène Simard, Le Libraire« L’Homme-café, une longue réflexion sur le sens de la vie qui se présente comme une fable moderne et fantaisiste. »Louise Chevrier, La Terre de chez nous (Montérégie)« Dès l’abord, ce roman nous enlève, nous kidnappe. C’est l’étranger, mais l’étranger possible, palpable et si près… François Désalliers peint avec ce roman, une fresque si envoûtante qu’on voudrait en faire partie. »Sylvain Fortier, CIBL-FM - Les Oranges pressées« Très bon livre. C’est drôle, dramatique, émouvant et rempli d’action. Félicitations pour l’imagination et le style d’écriture. Je le recommande. »Élodie Girardin-Lajoie, CHYZ-FM - Chéri j’arrive (Québec)« François Désalliers signe son troisième roman avec beaucoup d’imagination. Ce livre est très bien fait et nous accroche dès le début. À lire pour se libérer des fardeaux de la vie et se rendre compte que nous ne sommes pas si fou que ça! »Élodie Girardin-Lajoie, CHYZ FM - Chéri j’arrive (Québec)« L’Homme-café propose un univers peu banal et combien intéressant. Un ton tantôt sérieux, tantôt loufoque où la poésie et le surréel demeurent toujours présents. Des phrases pleines d’humour mais aussi d’amour pour ce singulier personnage qui porte à réfléchir. »Normand Caron, Infoculture.ca (Internet)« Une fois de plus j’ai été touchée par la profondeur des personnages. Un conte pour adulte raconté avec beaucoup d’humour et d’amour. Un portrait de la société ou les valeurs de notre époque sont remises en question et ou l’essentiel devient le personnage principal de ce roman. »Danielle Perreault, 103,3 (Lanaudière)« Roman à l’originalité peu commune. (…) Parfois drôle, parfois triste, mais toujours suscitant une intérieure réflexion sur la solitude et les responsabilités. »Roger Robitaille, CFIN FM (Bellechasse)« L'Homme-café est un roman passionnant qui nous oblige à négocier avec des mondes différents. L'analyse que François Désalliers fait de l'existence de Jean-Marie Lalonde, de son refus de continuer de vivre son succès financier et son échec familial, de la découverte de son talent de peindre les âmes jusqu'à ce qu'il devienne prisonnier de sa propre liberté: tout cela est fait avec ce qu'il faut de nuances et de détails, ironie et compassion.»Jean-François Crépeau, Le Canada Français« L'idée de base est excellente et pleine de promesses: un homme se rend dans un café et, n'ayant aucune envie de s'en aller, décide d'y rester. De bonnes idées ne font pas toujours de bons romans. Alors, comment maintenir l'intérêt du lecteur pendant 353 pages sans que l'histoire s'essoufle? C'est simple: il faut avoir le talent de conteur de François Désalliers. (…) L'Homme-café est un roman qui regorge d'originalité et d'humanité. Une fichue de belle découverte à faire!»Éric Simard, Le Libraire