Résumé
Mémoires du temps, des lieux, des hommes, d'exil, multiples et imaginaires, métissées et revisitées.
Estuaire. Confluences. Mémoire du temps, mémoire des lieux, mémoire des hommes, mémoire d’exil. La mémoire est le reflet de la vie et la vie n’est pas toujours droite ni telle qu’elle apparaît. Mémoires multiples et imaginaires. Mémoires métissées, mémoires revisitées nourries et charriées par les eaux mêlées - douces et salées - du Fleuve et de l’Océan : la Loire et l’Atlantique. Ecriture pointilliste en spirales et entrelacs qui évolue dans des univers différents, avec des variances, selon le thème et les personnages. Certains sont ancrés dans la réalité - voire le quotidien - d’autres sont imprégnés d’onirisme et/ou de fantastique, mais ils se rejoignent ou coexistent parfois dans un même texte. La frontière est ténue. Il y a, dans ces nouvelles, une pointe de romantisme, de réalisme, de poésie, d’humour et toujours de tendresse. A l’image de la vie.
Découvrez un recueil de nouvelles qui montre que la mémoire est le reflet de la vie, et la vie n'est pas toujours droite ni telle qu'elle apparaît.
EXTRAIT D'INVENTAIRE
Au bout d’une allée, sous les charmilles d’un jardin, une petite fille aux cheveux courts, rubans écossais montés sur des barrettes de chaque côté de la raie au milieu, robe à smocks et manches ballons, sandales et socquettes blanches, petit sac rouge (je m’en souviens) avec une chaînette dorée en guise de bandoulière, une main sur le guidon de son premier tricycle. C’est l’été. Elle a trois ou quatre ans, elle cligne des yeux dans le soleil. Son regard ressemble à une tête d’épingle.
Mon père sait planter les clous à la mode à la mode, ma mère sait planter les aiguilles à la mode à la mode et moi, je ne sais pas comment est le monde ailleurs ni même s’il existe. Je ne connais que le jardin devant la maison, et celui qui est derrière la maison de grand-mère et de grand-père.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Ecrivain pluri-indisciplinaire, Thérèse André-Abdelaziz explore toutes les formes d’écriture, de la poésie à la dramaturgie en passant par les nouvelles, le roman et les faits de société. Elle a publié sept ouvrages dont Quelque part une île (1980) Ed. du Cerf, Je, femme d’immigré (1987) Ed. du Cerf, réédition (2004) La Part Commune, Je m’appelle Atlantique (2006) Ed. La Part Commune, ainsi que L’Estuaire (2011) et Moi, Julienne David, corsaire nantaise jamais soumise (2012) Ed. Ex Æquo.
Elle est l’auteur également de sept pièces radiophoniques et neuf pièces théâtrales.
Estuaire. Confluences. Mémoire du temps, mémoire des lieux, mémoire des hommes, mémoire d’exil. La mémoire est le reflet de la vie et la vie n’est pas toujours droite ni telle qu’elle apparaît. Mémoires multiples et imaginaires. Mémoires métissées, mémoires revisitées nourries et charriées par les eaux mêlées - douces et salées - du Fleuve et de l’Océan : la Loire et l’Atlantique. Ecriture pointilliste en spirales et entrelacs qui évolue dans des univers différents, avec des variances, selon le thème et les personnages. Certains sont ancrés dans la réalité - voire le quotidien - d’autres sont imprégnés d’onirisme et/ou de fantastique, mais ils se rejoignent ou coexistent parfois dans un même texte. La frontière est ténue. Il y a, dans ces nouvelles, une pointe de romantisme, de réalisme, de poésie, d’humour et toujours de tendresse. A l’image de la vie.
Découvrez un recueil de nouvelles qui montre que la mémoire est le reflet de la vie, et la vie n'est pas toujours droite ni telle qu'elle apparaît.
EXTRAIT D'INVENTAIRE
Au bout d’une allée, sous les charmilles d’un jardin, une petite fille aux cheveux courts, rubans écossais montés sur des barrettes de chaque côté de la raie au milieu, robe à smocks et manches ballons, sandales et socquettes blanches, petit sac rouge (je m’en souviens) avec une chaînette dorée en guise de bandoulière, une main sur le guidon de son premier tricycle. C’est l’été. Elle a trois ou quatre ans, elle cligne des yeux dans le soleil. Son regard ressemble à une tête d’épingle.
Mon père sait planter les clous à la mode à la mode, ma mère sait planter les aiguilles à la mode à la mode et moi, je ne sais pas comment est le monde ailleurs ni même s’il existe. Je ne connais que le jardin devant la maison, et celui qui est derrière la maison de grand-mère et de grand-père.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Ecrivain pluri-indisciplinaire, Thérèse André-Abdelaziz explore toutes les formes d’écriture, de la poésie à la dramaturgie en passant par les nouvelles, le roman et les faits de société. Elle a publié sept ouvrages dont Quelque part une île (1980) Ed. du Cerf, Je, femme d’immigré (1987) Ed. du Cerf, réédition (2004) La Part Commune, Je m’appelle Atlantique (2006) Ed. La Part Commune, ainsi que L’Estuaire (2011) et Moi, Julienne David, corsaire nantaise jamais soumise (2012) Ed. Ex Æquo.
Elle est l’auteur également de sept pièces radiophoniques et neuf pièces théâtrales.
Auteur
Caractéristiques
Éditeur : Ex Aequo
Publication : 4 mai 2017
Intérieur : Noir & blanc
Support(s) : Livre numérique eBook [ePub]
Contenu(s) : ePub
Protection(s) : Marquage social (ePub)
Taille(s) : 758 ko (ePub)
Langue(s) : Français
Code(s) CLIL : 3621, 3478, 3459
EAN13 Livre numérique eBook [ePub] : 9782359621525
EAN13 (papier) : 9782359621501
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