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Résumé

Also known as Au Bonheur des Dames; The Ladies' Delight or The Ladies' Paradise; is the eleventh novel in the Rougon-Macquart series by Émile Zola. The novel is set in the world of the department store, an innovative development in mid-nineteenth century retail sales. Zola models his store after Le Bon Marché, which consolidated under one roof many of the goods hitherto sold in separate shops. In Au Bonheur des Dames, the store is a symbol of capitalism, the modern city and the bourgeois family. It is emblematic of changes in consumer culture, sexual attitudes and class relations taking place at the end of the century. The novel tells the story of Denise Baudu, a 20-year-old woman from Valognes who comes to Paris with her brothers and begins working at the department store Au Bonheur des Dames as a saleswoman. Zola describes the inner workings of the store from the employees' perspective, including the 13-hour workdays, the substandard food and the bare lodgings (for the female staff). Many of the conflicts in the novel spring from the struggles for advancement and the malicious infighting and gossip among the staff.
Au Bonheur des Dames is a sequel to "Pot-Bouille". Like its predecessor, Au Bonheur des Dames focuses on Octave Mouret (b. 1840), who at the end of the previous novel married Caroline Hédouin, the owner of a small silk shop. Now a widower, Octave has expanded the business into an international retail powerhouse occupying (at the beginning of the book) most of an entire city block.
Au Bonheur des Dames has been made into a number of films, television series and plays.

Auteur

  • Emile Zola (auteur)

    Premier grand écrivain issu de l’immigration, Émile Zola (1840-1902), orphelin à sept ans, rencontre au collège d’Aix-en-Provence le futur peintre Cézanne, puis monte à Paris. Il se passionne pour la littérature romantique, mais échoue au baccalauréat. Il entre, en 1862, comme chef de publicité aux éditions Hachette. Il y rencontre des écrivains célèbres (Lamartine, Michelet, Sainte-Beuve, etc.) et publie des écrits encore marqués par le romantisme, tels les Contes à Ninon (1864). Avec Thérèse Raquin (1867), il s’engage dans le naturalisme qu’il définira en 1880, dans Le Roman expérimental. L’Introduction à l’étude de la médecine expérimentale de Claude Bernard (1865) l’aide à théoriser sa conception littéraire. Ses romans montreront comment les phénomènes humains sont déterminés par l’hérédité et le milieu. Comme Balzac avec La Comédie humaine, il les regroupe sous un titre générique : Les Rougon-Macquart : histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire. Malgré sa création prolifique, Zola ne rencontre qu’un maigre succès. En 1877, il triomphe avec L’Assommoir. Le « maître » a ses disciples (Huysmans, Maupassant, etc.) avec lesquels il compose Les Soirées de Médan. Nana (1880) le fait renouer avec le succès... et le scandale. Les misères des courtisanes choquent autant que celles des ouvriers, d’autant que Zola stigmatise la bourgeoisie. De 1882 à 1884, parallèlement à son œuvre théorique (Le Roman expérimental ; Écrits sur l’art), Zola s’intéresse au petit commerce menacé par le capitalisme avec Pot-Bouille et Au Bonheur des dames. Son ancienne pauvreté, son athéisme, ses idées républicaines et son scientisme lui font concevoir le déterminisme économique comme moteur de l’existence, destructeur des valeurs humaines. En 1885, Germinal révèle le milieu méconnu des mines et semble justifier la révolte des damnés de la terre : Zola est consacré. La Bête humaine (1890), dont l’intrigue rappelle Thérèse Raquin, marque l’apogée des Rougon-Macquart. En vingt-quatre ans, Zola a publié vingt romans, avec plus de 1200 personnages. Cependant, lassé d’une critique qui lui reproche constamment sa noirceur, il envisage de nouveaux romans, proposant des remèdes aux maladies de la société. Dès 1894, Zola projette une trilogie – Les Trois Villes : Lourdes, Rome, Paris – dont le héros passe du séminaire à un athéisme serein et fécond. Mais, quand il apprend, fin 1897, que le capitaine Dreyfus est condamné à la déportation, Zola analyse les minutes du procès et se convainc de son innocence. Sa lettre au président Félix Faure, J’accuse, publiée en janvier 1898 dans L’Aurore, fait basculer l’opinion, mais Zola est condamné à un an de prison. Pourtant la justice triomphe : Dreyfus est gracié (1899), puis réhabilité (1906). Zola envisage une suite aux Trois Villes : Les Quatre Évangiles, mais il meurt asphyxié en septembre 1902. Parmi une foule immense, une délégation de mineurs scande ses obsèques d’un solennel « Germinal » et Anatole France prononce son éloge funèbre. En 1908, les cendres de Zola sont transférées au Panthéon.

Auteur(s) : Emile Zola

Caractéristiques

Editeur : e-artnow

Auteur(s) : Emile Zola

Publication : 19 janvier 2013

Edition : 1ère édition

Intérieur : Noir & blanc

Support(s) : Livre numérique eBook [ePub]

Contenu(s) : ePub

Protection(s) : DRM Adobe (ePub)

Taille(s) : 608 ko (ePub)

Langue(s) : Anglais

Code(s) CLIL : 3436, 3489

EAN13 Livre numérique eBook [ePub] : 9788087664971

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