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Résumé

Ce numéro de Nouvelles pratiques sociales commence, selon l’habitude de la revue, par une entrevue. Menée par Pascal Aura et Laurence Lamarche, elle rend compte de l’action du Cirque Hors piste, qui mobilise l’art circassien pour intervenir auprès de jeunes en situation de précarité. Ensuite, le dossier thématique, coordonné par Mélanie Bourque, Josée Grenier et Stéphane Rullac, contient huit articles consacrés aux tensions qui traversent le champ du travail social. La rubrique Perspectives regroupe pour sa part cinq articles : deux de ces textes abordent des problèmes sociaux relatifs au logement, les trois autres proposant une analyse de dispositifs d’intervention, en examinant leurs fondements éthiques, leurs modalités ou encore leurs retombées. Se trouvent également dans ce numéro l’article gagnant du dernier concours étudiant, un écho de pratique consacré à la participation citoyenne dans l’organisation des services en santé mentale adulte et, finalement, un compte rendu de lecture d’un ouvrage portant sur la sociopsychanalyse réalisé par Yann Tremblay-Marcotte.

Auteur

  • Josée Grenier (auteur, Editeur invité)

    Professeure au Département de travail social à l'Université du Québec en Outaouais.
  • Marie-Andrée Poirier est professeure titulaire l’École de travail social de l’Université de Montréal et directrice de l'École depuis juin 2021. Elle réalise depuis plusieurs années des projets sur les trajectoires de placement ainsi que sur l’univers familial dans lequel les enfants placés grandissent. Ses plus récents travaux portent sur la formation et l'expérience des parents d'accueil, les placements auprès des familles d’accueil de proximité, les visites supervisées et l’accompagnement des parents qui présentent des indices de délaissement. Réalisés en partenariat avec le milieu clinique et les associations de parents d’accueil, ses travaux de recherche accordent une grande importance à la valorisation des connaissances.

     

  • Annie Pullen Sansfaçon, t.s., Ph. D. est professeure titulaire en travail social à l’Université de Montréal, et titulaire de la Chaire de recherche du Canada (CRC) ReParE de niveau 1 sur la recherche partenariale et l’empowerment des jeunes vulnérabilisés.

  • André-Anne Parent, professeure agrégée à l’École de travail social de l’Université de Montréal.

  • Julie Gosselin (auteur)

    Julie Gosselin est professeure agrégée de psychologie clinique à l’Université du Québec en Outaouais (UQO) et professeure auxiliaire à l’Université d’Ottawa. Elle enseigne l’évaluation psychodiagnostique ainsi que la consultation et la supervision clinique aux cycles supérieurs. Elle est également superviseure clinique à la Clinique des services psychologiques de l’UQO.
  • Julie Noël (auteur)

    Julie Noël est professeure agrégée à l’École de travail social de l’Université de Sherbrooke. Elle s’intéresse aux familles en situation de vulnérabilité. Singulièrement, elle mène et contribue à des travaux de recherche portant sur l’expérience des parents d’enfants placés et adoptés dans le cadre d’une mesure de protection. Jusqu’à présent elle a examiné cette expérience dans les perspectives du pouvoir d’agir, de la reconnaissance sociale, de l’engagement et du deuil.

     

  • Madeleine Beaudry détient un doctorat en travail social. Professeure à l'Université Laval, à Québec, elle a enseigné les thématiques de la famille et du couple jusqu'à sa retraite en 2006. Elle demeure engagée dans l'évolution des pratiques conjugales et familiales.
  • Jean-Marie Boisvert détient un doctorat en psychologie. Professeur à l'Université Laval, à Québec, jusqu'à sa retraite en 2007, il est impliqué dans l'évolution des psychothérapies individuelles et conjugales.
  • Caroline Adam (auteur)

    Caroline Adam est titulaire d’un doctorat en santé publique de l’Université de Montréal. Elle est professeure-chercheuse en Techniques de travail social au Cégep du Vieux Montréal et chargée de cours à l’École de santé publique de l’Université de Montréal. Elle possède une vaste expérience en intervention sociale, notamment en protection de la jeunesse et en prévention du suicide.Ses travaux de recherche portent principalement sur les situations de vulnérabilité, l’insécurité alimentaire, le logement, les inégalités sociales de santé ainsi que les interventions visant à agir sur ces déterminants. Elle a également développé une approche théorique originale, l’agir-en-contexte, qui permet de mieux comprendre comment les contextes de vulnérabilité façonnent l’action des individus dans leur quotidien.
  • Audrey Gonin (Introduction de)

    Audrey Gonin est professeure à l’École de travail social de l’Université du Québec à Montréal et codirige la revue Nouvelles pratiques sociales.

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