Née au Venezuela, Marianne Ferrer est arrivée au Canada en 1998. Elle a fait des études en design graphique à l’Université du Québec à Montréal. À peine sortie de l’école, son style personnel très poétique est remarqué par les maisons d’édition. Elle a publié Racines (Monsieur Ed, 2016) et a illustré Le jardin invisible (Monsieur Ed, 2017) et Une histoire de cancer qui finit bien (La Pastèque, 2017). Ses illustrations douces aux accents oniriques nous entraînent dans des univers envoûtants, qui se conjuguent merveilleusement au texte d’Élise Turcotte.